Mardi 30 Novembre 1981 Le Matin
Le matin vers cinq heures, je méveillais, prenais une douche et jallais au petit dej., ou je retrouvais Paul, qui me donna son programme et quil tâcherait de revenir avant mon départ fixé vers 11,00 h. A 6,00 h je retournais au bureau pour vérifier quelques détails, et vers 6,30 h jentendis Mathilde, frapper à la case de passage. Je me demandais si elle penserait au bureau. Oui, elle entra, elle avait le même corsage, mais les pans du corsage noués sous les seins et le décolleté toujours aussi tentant, que hier, avec sa minijupe, moulant à souhait larrondi de ses hanches. Un large sourire éclairait sa figure : « Bonjour,
jai craint que tu sois parti,
» et métant levé, elle fut vite contre moi, et là, les bonnes résolutions disparurent. Elle était chaude et se frottait à moi comme une chatte, en étant grossier, je dirais comme une chatte en chaleur. « Caresses moi,
embrasses moi,
» Je me penchais et lembrassais dans le cou et descendais vers ses seins, que jadorais, embrasser, caresser et surtout soupeser, les prendre dans la paume de ma main et sentir leur poids, ils étaient lourds, fermes et dune douceur, qui me donner aussitôt des envies. Le nud des pans de son corsage sétant défait je pouvais me gaver de sa poitrine. Puis, marrachant à ses seins elle me dit : « Hier, tu mas dit que javais un beau cul,
»
Moi, très gêné : « Cest exact,
ce nétait guère galant,
ni bien élevé,
je te pris mexcuser,
je regrette sincèrement ce que jai dit,
»
Mathilde : « Je ne te demande pas dexcuses,
dis-moi,
cest vrai que jai un beau cul,
on dit que les hommes aiment nous prendre par-là,
ça te fait envie,
»
Moi : « Quest-ce que tu dis,
oui t as un joli cul,
tentant,
attirant,
»
Mathilde se rapprochant de moi, et surtout, posant sa main sur ma braguette : « Je vois,
enfin, je sens que tu en as envie,
je veux voir si tu en as vraiment envie,
» et elle saccroupit, rapidement short et caleçon furent descendus et sans hésitation en quelques coups de langue elle fit réagir « popol » et elle me prit en bouche pour une gentille pipe.
Quand elle jugea laffaire bien emmanchée elle se redressa remontant sa minijupe jusquaux hanches, se retourna et sappuyant sur le bureau : « Si, il te plait tant,
et que tu en as envie,
viens prends moi par-là,
je me suis préparée pour toi, ce matin
mais fais doucement,
» et elle posa ses mains sur ses fesses les écartant, me montrant ainsi sa jolie rosette, légèrement brune. Il ne restait plus quà mexécuter. Je guidais mon engin vers cette jolie et attirante cible et tâtait de sa souplesse, quand elle me dit : « Nhésites pas,
jen ai envie,
je nai pas lhabitude,
forces moi,
oui,
forces moi,
je nai jamais été prise comme ça,
prends moi,
jen ai tellement envie,
tu es le premier,
je veux te sentir me prendre,
OH,
OUI,
je te sens,
Oui,
» Si javais pu jaurais bien arrêté quand elle mannonçait que jétais le premier, mais jétais branché et je laurais déçu et je serais resté sur ma faim et elle sur son envie. Je la ramonais doucement et je lui dis de soccuper de sa chatte : « Tu veux vraiment,
Oh,
cest bon,
continues,
» Je continuais de la ramonais doucement, cest alors quelle sexcita en colère : « Baise moi fort,
non encules moi fort,
je veux te sentir me prendre,
fais-moi jouir,
fais-moi des souvenirs,
» Alors que jaugmentais le rythme, « Prends ton plaisir,
donnes moi du plaisir,
oui,
continues,
retiens toi,
encore,
oui,
je vais jouir,
OOOOHHH,
OUIIIII,
OOHHH,
OUII,
» ny tenant plus, alors que je remplissais son joli cul de mon plaisir, elle poussa un cri de gorge et eut un violent spasme qui fit quelle se laissa tomber sur le bureau, le souffle court. Quelques instants de calme, et elle se redressa et venant contre moi : « Tu mas fait de beaux souvenirs,
jai été heureuse,
laisses moi tembrasser,
» et rabattant sa minijupe, faisant rideau sur ses seins, elle partit sans rien dire dautre. Je me remis au boulot, me disant que je nattendrais pas le retour de Paul pour filer, content de ce qui était arrivé, mais quand même pas très fier.
Vers 10,00 h, jemballais mes affaires, le chauffeur ayant préparé le 4*4, je chargeais mon petit bagage quand Mathilde sortit de leur carré et venant vers moi la main tendu : « Vous partez déjà,
bien je vous souhaite bonne route,
et mes amitiés à AL,
» on se serra la main et elle partit. Alors que je mapprêtais à monter dans la voiture, elle sortit de la case de passage en me disant : « Jean, venez,
vous avez oublié des trucs,
» à priori, je navais rien oublié, mais à tout hasard, je me rendais à la case de passage, où mattendait Mathilde. A peine entrée, ses bras étaient autour de mon cou et collée contre moi : « Je voulais te dire,
je me suis offerte à toi,
tu mas fait lamour,
je tai offert mon,
enfin jai voulu que tu,
me prennes par derrière,
jai aimé que tu me montes,
je voudrais que tu toccupes, encore une fois de ma chatte,
pour quaprès je moccupe de toi,
je veux que tu sois dur,
pour prendre ma bouche,
» elle remonta sa jupe, se laissa tomber sur le lit, le compas de ses cuisses largement ouvert. Je ne pouvais lui refuser ce plaisir, dautant quelle était chaude et soffrait sans retenue. Vite je me mis à moccuper de sa chatte, langue, puis mes doigts pénétrèrent son fourreau ouvert et dégoulinant à souhait, elle ne fut pas longtemps à être remontée : « OH,
Oui,
cest bon avec ta langue,
continues,
fais-moi jouir,
» Jaccélérais le rythme et la masturbais avec énergie et dun seul coup dans une espèce de cri de gorge : « OOOOOHHHH,
.OUIIIIIIIII,
JE JOUIIIIIIIS,
» et son corps se contracta brutalement. Quelques instants après elle se redressa : « Cétait bon,
tu es un amour,
tu sais me faire jouir,
me donner du plaisir,
laisses moi faire,
je veux ten donner,
je veux que tu prennes ma bouche,
et je serais entièrement à toi,
» et menlevant short et caleçon, elle saccroupit et prenant ma bite, elle commença à sen occuper, me caressant du bout ses doigts, puis sa langue la parcourut sur la longueur pour enfin avec ses lèvres sucer le gland avec une douceur extrême, pour enfin commencer à me pomper doucement et fermement, javais limpression par moment quelle mavalait entièrement, dun coup la pression était telle que jallais me vider dans sa bouche je la prévins dun : attention.
Ses lèvres resserrèrent leur emprise sur ma queue et je me mis à jouir en me vidant dun seul jet dans bouche. Ce quelle accepta, avec un léger grognement, alors que toujours accroupi, javais les yeux sur elle, elle ouvrit la bouche pour me montrer, ce dont elle était pleine et fermant sa bouche aval le tout. Un sourire radieux illumina sa jolie figure et se redressant : « Jai aimé que tu prennes ma bouche,
je taurais tout donné,
maintenant pars,
vite,
je vais être triste,
pars sans te retourner,
une autre fois peut-être,
» Je me réajustais et partais, retour à la capitale ù jarrivais dans la soirée.
admin
Jan. 31, 2023
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